Lorsqu'il est apparu, à la fin septembre, qu'un consortium de neuf banques européennes, dont des poids lourds tels qu'ING et UniCredit, se préparait à lancer un stablecoin libellé en euros, la première question qui m'est venue à l'esprit était "Cui bono ?" Qui – ou plutôt quoi – a le plus à gagner de l'i