PANews, le 20 octobre, rapporte que Vitalik Buterin a récemment écrit un article détaillant comment le protocole GKR (Goldreich–Kahan–Rothblum) est utilisé pour accélérer les preuves ZK, s'adaptant à la structure de calcul “batch×multi-layer”, réduisant considérablement les engagements intermédiaires, ne faisant des engagements que sur les entrées et les sorties. L'article prend l'exemple du hash Poseidon2, détaillant le processus de preuve récursive centré sur le sumcheck et proposant des optimisations (truc de Gruen, traitement par lots linéaire, premiers éléments cubiques dans certaines rondes), qui peuvent être combinées avec BaseFold ou FRI dans des scénarios d'engagement polynomial. L'auteur déclare que les coûts réels sont inférieurs à environ 100 fois la valeur théorique des STARK traditionnels, avec des coûts à un chiffre envisageables, et rappelle que le défi Fiat–Shamir doit se méfier des risques de prévisibilité dans le circuit.
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Vitalik a publié un article de tutoriel GKR : protocole "batch × layer" supportant des preuves ZK ultra rapides.
PANews, le 20 octobre, rapporte que Vitalik Buterin a récemment écrit un article détaillant comment le protocole GKR (Goldreich–Kahan–Rothblum) est utilisé pour accélérer les preuves ZK, s'adaptant à la structure de calcul “batch×multi-layer”, réduisant considérablement les engagements intermédiaires, ne faisant des engagements que sur les entrées et les sorties. L'article prend l'exemple du hash Poseidon2, détaillant le processus de preuve récursive centré sur le sumcheck et proposant des optimisations (truc de Gruen, traitement par lots linéaire, premiers éléments cubiques dans certaines rondes), qui peuvent être combinées avec BaseFold ou FRI dans des scénarios d'engagement polynomial. L'auteur déclare que les coûts réels sont inférieurs à environ 100 fois la valeur théorique des STARK traditionnels, avec des coûts à un chiffre envisageables, et rappelle que le défi Fiat–Shamir doit se méfier des risques de prévisibilité dans le circuit.